Les cellules produisent de l’énergie grâce à la respiration cellulaire en oxydant des molécules alimentaires telles que le glucose. L’énergie libérée au cours de ce processus est utilisée pour former l’adénosine triphosphate (ATP), la principale molécule de stockage d’énergie de l’organisme. Un acteur clé de ce mécanisme est le NAD+, la forme oxydée du nicotinamide adénine dinucléotide, qui perd un électron. Son homologue réduit, le NADH, capte l’électron perdu par le NAD+. Ensemble, le NAD+ et le NADH constituent un couple redox essentiel à la production d’énergie via les réactions de transfert d’électrons.

Le NAD+ est présent dans presque toutes les cellules vivantes, y compris celles du cœur, du cerveau, des muscles et des poumons. Aux côtés des mitochondries, il joue un rôle essentiel dans la production de l’énergie nécessaire aux fonctions biochimiques de la cellule. Cette énergie est stockée sous forme de molécules d’ATP. Le NAD+ soutient le métabolisme de deux manières principales : d’une part, en permettant la conversion des nutriments en énergie utilisable, et d’autre part, en agissant comme coenzyme, en assistant certaines protéines qui régulent des processus cellulaires essentiels. Ces fonctions sont fondamentales pour maintenir la santé globale, ralentir le processus de vieillissement et réduire le risque de diverses maladies.